Presse 

 

 

Dracula

Moby Dick

« C’est une salle comble qui a accueilli un public de tous les âges, pour un inoubliable voyage en mer. À la fois hors de la scène et en immersion totale dans l’histoire, à la façon d’un rêve ou d’un cauchemar. Grâce à un incroyable jeu de marionnettes plus humaines que nature, si bien qu’il était difficile de distinguer les personnages des acteurs, la metteuse en scène Yngvild Aspeli a transposé l’océan sur scène : grandeur nature ou miniature, dans un jeu de manipulation d’une maîtrise et d’une grâce absolues, le public a ainsi vécu avec l’équipage, du nid de pie à la cale du navire. »
— Lorette CHARLOT
«  [...O]n tient ici une version sublime du livre de Melville, d’une ampleur assez rare au théâtre. Pêle-mêle, on citera une bande-son très très emballante aux limites du métal, des effets visuels immersifs et magnifiques, une poésie et une puissance des images démentes, une créativité dingue avec plein d’idées totalement irrésistibles, une variété d’échelles et d’angles - du petit à l’immense – et un univers marionnettique qui réinvente le genre. Enfin le texte, dont une partie – la plus belle – dite en anglais, gronde et fait enfler le mythe, avec des accents shakespeariens. »
— Sorties de secours
« Le travail de Yngvild Aspeli est magnifique. L’ambiance créée grâce aux lumières, à la vidéo et à la musique est magique. La voix des acteurs fait entendre de beaux passages du texte de Melville, les marionnettes font vivre le bateau, l’équipage, le monde des profondeurs. Elles sont splendides, inquiétantes, folles et porteuses de mort comme Achab. »
— SNES
« C’est la magie d’un spectacle total. A ne manquer sous aucun prétexte. »
— Vivant Mag
« Une création d’une grande puissance poétique, mélancolique, visuellement superbe. »
— Un Fauteuil pour l'Orchestre
« Un conte philosophique sombre et puissant. »
— Toute la Culture
« Un spectacle visuellement splendide. »
— Le Canard Enchaîné
« Traduites dans cette bande de marionnettes, terrifiantes et fascinantes à la fois, et dans la belle création vidéo de David Lejard-Ruffet qui, pour absorber le regard, dépasse le cadre de scène, les intentions profondes d’Herman Melville transparaissent aussi dans la composition musicale de Guro Skumsnes Moe, Ane Marthe Sørlien Holen et Havard Skaset. Englouti dans les ténèbres scénographiques, le trio norvégien offre à l’ensemble un thème et ses variations, qui permettent à Yngvild Aspeli de se passer d’un trop-plein de mots pour faire, malgré tout, jaillir une palette fournie d’émotions. Comme portée par les flux et les reflux de la mer, le long voyage qui peut conduire du jour à la nuit, la metteuse en scène surfe alors sur les flots tourmentées de l’âme humaine, à proximité des rivages les plus obscurs du symbolisme. »
— Sceneweb
« Les lumières froides et bleutées, la fumée qui enveloppe la scène, les musiciens avec leur instrument et leurs chants envoûtants, en anglais et en norvégien, créent une atmosphère à la fois mystique et lugubre.
Les marionnettistes font preuve d’une précision chirurgicale, donnant fluidité et force à leurs partenaires de bois. Ils ne se cachent pas derrière leurs marionnettes mais interagissent avec elles. Alors que le capitaine Achab bouillonnant de rage essaie d’anticiper le parcours de Moby Dick, les allégories de la mort dansent autour de lui et guident ses mouvements vers ce qui le conduira à sa perte. “Tous les objets visibles ne sont que des masques en carton” hurle le capitaine, barbe et cheveux hirsutes. Dans Moby Dick, les marionnettes ont une âme, elles sont des personnages à part entière. »
— France Info Web
« Un grand spectacle dans un univers saisissant. »
— L'Humanité
« Avec un maelstrom d’effets, Yngvild Aspeli compose un tableau à la fois extrêmement technique et maîtrisé et d’une beauté spectrale. Rivés au récit d’Ismaël (seul personnage qui ne sera pas joué par une marionnette), les spectateurs assistent à ce voyage métaphorique aux confins de la folie, la folie des éléments mais aussi celle des hommes.
Brillant et envoûtant.
 »
— Theatr'elle
« Comment interpréter les forces infinies de l’océan face à un seul homme et à sa folie au travers de votre art de marionnettiste ?
Yngvild Aspeli : “La marionnette et l’utilisation de la marionnette permettent d’une manière très physique et concrète de visualiser des choses qu’il reste difficile à expliquer et à mettre en mots. Ces choses qui existent alors même qu’on ne peut les voir. On peut alors saisir ces forces invisibles qu’elles soient dans le monde autour de l’être humain ou bien au plus profond à l’intérieur de l’âme humaine.
Le roman de Melville parle de toutes ces choses qui sont bien au-delà de notre possible compréhension. Il révèle les questions existentielles de l’être humain.”
 »
— Le Bruit du Off
« En revenant à une forme plus modeste que son gigantesque et foisonnant Moby Dick, Yngvild Aspeli fait la preuve de sa capacité à maîtriser différentes échelles. Elle confirme aussi son talent à amener la marionnette dans de complexes et passionnantes directions. Dans de troublants entre-deux. »
— Anaïs Heluin
« Cette relecture du mythe, peu bavarde et peu sanglante, mais subtile et suggestive, qui va chercher du côté des femmes et des victimes un nouvel éclairage sur l’idée du vampire, est assez séduisante. C’est un spectacle aux images fortes, à l’histoire originale, par lequel il est agréable – même si légèrement dérangeant, c’est le but – de se laisser fasciner. »
— MATHIEU DOCHTERMANN
« Le spectacle en collaboration avec la compagnie franco-norvégienne Plexus Polaire met en scène des images fortes. Les marionnettes et les acteurs enchaînent d’immenses scènes les unes après les autres. »
— Fidena Portal
« Un spectacle (...) qui électrifiera tous ceux qui s’intéressent aux marionnettes et à leur image contemporaine. »
— Marek Waszkiel on e-teatr.pl
« Dracula est une heure dense et atmosphérique de grand théâtre visuel avec d’excellentes marionnettes. »
— MDR Kultur
« Débridé, romantique ou encore onirique, cet imaginaire a à plusieurs endroits de la Nuit emprunté la voie du mythe. Et ce dès le spectacle d’ouverture, dont nous avons déjà parlé ici au moment de sa création au Théâtre des Quartiers d’Ivry : l’hypnotique Dracula d’Yngvild Aspeli. Pour l’occasion, la marionnettiste a toutefois transformé son ballet très visuel pour victimes et voraces agresseurs au point de le présenter comme une recréation. Fait de déclinaisons autour des mêmes motifs, la morsure et la transformation, ce spectacle tout désigné pour ouvrir une Nuit de la marionnette a trouvé son rythme : il assume davantage sa lenteur, ses répétitions. Grâce à l’ajout d’un nouveau personnage de narrateur et une parole plus dense accordée à la figure de la victime, le récit se fait aussi plus clair. Il se laisse ainsi mieux saisir par les sens. Car plus que l’intellect, ce sont eux que cherche à solliciter Yngvild Aspeli avec sa pièce sur le mythique « prince de la nuit ». »
— Anaïs Heluin (www.sceneweb.fr)
« Un spectacle sombre, éminemment visuel, qui joue à plein sur l’étrangeté du médium marionnette, avec des images ciselées créées par un choeur de manipulatrices qui opèrent sur un fond noir, tantôt jouant des personnages à vue, tantôt se dissimulant dans l’obscurité. »
— Mathieu Dochtermann (Toute la Culture)
« L’artiste plonge le public dans l’inconscient de l’une des victimes du comte Dracula, la jeune Lucy, en proie à des cauchemars et à des crises de somnambulisme. Les thèmes du rêve, du dédoublement de personnalité, de la folie sont très présents dans cette variation autour du mythe vampirique. »
— Cristina Marino (Le Monde)

Chambre Noire

Cendres

« A stunning work of art »
— New York Times • Laura Collins-Hughes
« ★★★★★ “Une oeuvre à la beauté saisissante, aux images fortes, à la structure complexe, qui mérite la réputation qui la précède. A ne pas manquer »
— Toute la Culture • Mathieu Dochterman
« A couper le souffle »
— L'Humanité
« Immanquable »
— Le Point
« Le public est embarqué dans un véritable tourbillon sonore et visuel dont il ne ressort qu’une heure et quelque après, avec la sensation d’avoir vécu une expérience hors du commun. »
— Le Monde
« A mesmerizing, haunting piece »
— New York Times • Laura Collins-Hughes
« Spectacle total pour femme en colère »
— Le Temps
« Une poésie qui transcende le pire »
— La Terrasse • Anaïs Héluin
« ★★★★★ UN ÉCLAIR DE GÉNIE THÉÂTRAL SUR FOND D’OBSCURITÉ
”Avec Paola Rizza, Yngvild Aspeli offre à ce récit de vie torturé un écrin sombre, froid et moderne, dans une mise en scène extrêmement travaillée où l’obscurité est déchirée par les néons putassiers des nuits new-yorkaises. En se concentrant sur l’intime, elle travaille non seulement la dimension pathétique du personnage, mais aussi l’incandescence de son génie. Elle donne à voir l’oppression, la révolte, la liberté aussi, elle interroge leurs sources et les formes qu’elles ont prises.”
”C’est un spectacle très abouti, avec une identité visuelle et sonore extrêmement travaillées, et une dramaturgie qui se hisse à l’égal des meilleures pièces de théâtre contemporain qui est ici proposé. Un mélange de feu et de glace, de précision et de fureur émotionnelle, une oeuvre complète et incontournable. A voir, d’urgence. »
— Toute la Culture • Mathieu Dochterman