LE SPECTACLE

Dans son adaptation visuelle du célèbre mythe de Dracula, Yngvild Aspeli prend le parti de librement s’inspirer de l’histoire de Bram Stoker pour s’attacher plus particulièrement à la figure de la femme. Elle se concentre sur l'expérience du personnage de Lucy, dans son combat contre son démon intérieur incarné par Dracula, qui représente alors la domination, la dépendance, l'addiction à une force destructrice. Une métaphore de l'emprise, à la fois forcée et voulue, séductrice et trompeuse.

Le spectateur embarque dans un voyage intime et psychique, dans cet univers fantasmagorique que Lucy s’est construit, dans lequel elle a plongé et contre lequel elle se bat. 

 

PRESSE

Visuellement, le spectacle est magnifique, avec une scénographie relativement simple qui baigne dans des projections vidéo dynamiques, incluant des jeux de feuillages et de couleurs, de sorte que différents espaces scéniques surgissent. Lucy et Dracula sont représentés par des marionnettes à taille humaine, entourés par des acteurs-marionnettistes, dont les rôles glissent de l’un vers l’autre. Cela crée une interaction fluide et séduisante où, dans de brefs instants, on peut douter de qui est vivant et qui est une marionnette. La musique et le design sonore sont parfaitement intégrés et ajoutent en même temps leur expression très particulière à l’œuvre d’art, à l’instar des précédentes performances de la compagnie.
— RAGNHILD TRONSTAD (NORSK SHAKESPEARE TIDSSKRIFT)
Oui, c’était très intéressant et vraiment époustouflant, cette version du monde de Dracula où la mort, l’érotisme, le désir et le rêve se fondent les uns dans les autres, dans des images visuelles très flottantes. Ce spectacle est d’une obscurité profonde, mais aussi d’une grande luminosité, et c’est complètement magique, comme ces personnages prennent vie. Ce sont des personnages fantastiques mais qui ont un aspect très réaliste. Alors oui, ça marche. Courez et achetez, c’est une expérience totale!
— ARNE NØST (RIKSTEATRET)
Cette relecture du mythe, peu bavarde et peu sanglante, mais subtile et suggestive, qui va chercher du côté des femmes et des victimes un nouvel éclairage sur l’idée du vampire, est assez séduisante. C’est un spectacle aux images fortes, à l’histoire originale, par lequel il est agréable – même si légèrement dérangeant, c’est le but – de se laisser fasciner.
— MATHIEU DOCHTERMANN
 

DISTRIBUTION

Mise en scène – Yngvild Aspeli

Distribution Plexus Polaire - Dominique Cattani, Yejin Choi, Sebastian Moya, Marina Simonova, Kyra Vandenenden

Composition musique – Ane Marthe Sørlien Holen

Fabrication marionnettes – Yngvild Aspeli, Manon Dublanc, Pascale Blaison, Elise Nicod, Sébastien Puech, Delphine Cerf

Scénographie – Elisabeth Holager Lund

Création Vidéo – David Lejard-Ruffet

Costumes: Benjamin Moreau

Régie lumière et plateau - Emilie Nguyen

Régie son et vidéo - Baptiste Coin

Assistants à la mise en scène - Thylda Barès, Aitor Sanz Juanes

Dramaturge – Pauline Thimonnier

Directrice de Production et Diffusion - Claire Costa

Administration - Anne-Laure Doucet

Chargée de Production et de Diffusion - Noémie Jorez

Informations tournée: Claire Costa clairecosta@plexuspolaire.com


COPRODUCTIONS

Production : Plexus Polaire

Coproduction : Puppentheater Halle (DE), Théâtre Dijon Bourgogne - CDN

Avec le soutien de la DRAC Bourgogne Franche Comté - Ministère de la Culture, la région Bourgogne Franche Comté, Kulturradet (NO), la Nef - Manufactures d'Utopies, Pantin, le CENTQUATRE Paris, le Théâtre des Quartiers d'Ivry - Centre Dramatique National du Val-de-Marne et le Théâtre aux Mains Nues, Paris.